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Les journalistes sont devenus la cible principale de la répression de l’opposition par le gouvernement iranien après les élections présidentielles controversées de juin dernier ; 52 d’entre eux sont actuellement détenus ; l’Iran est ainsi devenu le premier pays pour le nombre de journalistes emprisonnés suivant le Comité de Protection des Journalistes.
La vague d’arrestations, qui s’est accélérée récemment, a jeté un froid sur les journalistes iraniens à une époque où l’opposition lutte pour maintenir son défi au gouvernement face à la répression lourde des personnalités réformistes.
En réponse, une sorte de journalisme « clandestin » a émergé, explique Réza Valizadeh, 32 ans, qui travaillait pour la radiotélévision d’état mais a fui le pays pendant la répression postélectorale.
« Nous avons une sorte de journalistes guérilleros, portant des masques, anonymes, écrivant sous des pseudonymes et envoyant des mails sans mentionner leur vrai nom aux médias extérieurs à l’Iran, publiant sur des blogs sous des pseudonymes » explique Valizadeh qui vit maintenant à Paris.
« Une période très noire et très amère attend les journalistes » a-t-il déclaré à The Associated Press. Réplique aux Leveretts, qui vont sûrement bientôt nous expliquer que les journalistes iraniens jouissent de libertés sans pareil, grâce au grand et bon Mahmoud Ahmadinejad.
La vague d’arrestations, qui s’est accélérée récemment, a jeté un froid sur les journalistes iraniens à une époque où l’opposition lutte pour maintenir son défi au gouvernement face à la répression lourde des personnalités réformistes.
En réponse, une sorte de journalisme « clandestin » a émergé, explique Réza Valizadeh, 32 ans, qui travaillait pour la radiotélévision d’état mais a fui le pays pendant la répression postélectorale.
« Nous avons une sorte de journalistes guérilleros, portant des masques, anonymes, écrivant sous des pseudonymes et envoyant des mails sans mentionner leur vrai nom aux médias extérieurs à l’Iran, publiant sur des blogs sous des pseudonymes » explique Valizadeh qui vit maintenant à Paris.
« Une période très noire et très amère attend les journalistes » a-t-il déclaré à The Associated Press. Réplique aux Leveretts, qui vont sûrement bientôt nous expliquer que les journalistes iraniens jouissent de libertés sans pareil, grâce au grand et bon Mahmoud Ahmadinejad.
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