19 mars 2010
Se rendre sur les tombes de ceux que nous aimions le dernier jeudi de l’année iranienne est pour nous une responsabilité nationale et religieuse et démontre notre proximité avec ceux que nous avons perdus.
Je regrette de ne pas être à Téhéran pour remplir ce devoir.
Nos chers enfants abattus ne sont plus à nos côtés à la veille du Nouvel An, mais leur souvenir vivra pour toujours.
J’espère que ceux qui sont emprisonnés et qui manquent tant à leurs familles soient libérés et puissent retrouver les bras de leurs proches.
En tant que mère au cœur douloureux, je prends refuge dans la grâce de Dieu. Quel crime avaient commis nos enfants pour être l’objet de telles injustices ?
Nos jeunes ne demandaient qu’à avoir les mêmes droits dont tout être humain devrait bénéficier.
De nouveau, en tant que mère, je désire la paix, la liberté, la joie et la santé pour tous. Mon fils voulait la même chose mais il a été…
Se rendre sur les tombes de ceux que nous aimions le dernier jeudi de l’année iranienne est pour nous une responsabilité nationale et religieuse et démontre notre proximité avec ceux que nous avons perdus.
Je regrette de ne pas être à Téhéran pour remplir ce devoir.
Nos chers enfants abattus ne sont plus à nos côtés à la veille du Nouvel An, mais leur souvenir vivra pour toujours.
J’espère que ceux qui sont emprisonnés et qui manquent tant à leurs familles soient libérés et puissent retrouver les bras de leurs proches.
En tant que mère au cœur douloureux, je prends refuge dans la grâce de Dieu. Quel crime avaient commis nos enfants pour être l’objet de telles injustices ?
Nos jeunes ne demandaient qu’à avoir les mêmes droits dont tout être humain devrait bénéficier.
De nouveau, en tant que mère, je désire la paix, la liberté, la joie et la santé pour tous. Mon fils voulait la même chose mais il a été…
Parvin Fahimi, Mère de Sohrab
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